Spiritualité contemporaine : les croyances limitant notre croissance spirituelle

 

 

 

   Un renouveau spirituel

     A notre époque contemporaine, les lois universelles sont de nouveau, après une longue période d’obscurantisme, enfin étudiées. Nous assistons depuis quelques années à une montée en flèche du « cœur spirituel », notamment en occident. A l’orée d’une crise existentielle de masse, nous redécouvrons que tout n’est pas que physique, nous redécouvrons l’Esprit. Les personnes qui se sont rattachées depuis ces dernières années à la spiritualité se sont basées sur les textes anciens de différentes cultures puis ont décortiqué tous les enseignements déjà présents  depuis le début de notre existence. Alors que l’on redécouvre ces textes anciens, écrits à des époques charnières  - des instants bien précis où le monde se disloquait, se séparait pour évoluer - ces textes étaient liés à la culture et aux niveaux de conscience contextuels. Ils ont apporté les lots d’évolution qui étaient nécessaires à  ces moments précis.

Bien que porteurs de nombreuses vérités, ils restent des textes d’époque et demandent à être redéfinis dans le contexte actuel, avec les évolutions de consciences et de mœurs que nous connaissons. 

La spiritualité contemporaine est donc en plein re-fondement. C’est notamment en occident, où l’on a largement évolué d’un point de vue scientifique, médical et dans les mœurs que la population connait la plus grosse scissure. A l'heure où beaucoup sont athées, ou ont adopté une religion monothéiste classique selon des enseignements inchangés depuis très longtemps, nous n'avons plus de repères spirituels et connaissons un mal-être collectif de plus en plus palpable, à l'instar du nombre record de prises d’antidépresseurs et anxiolytiques. C'est dans ce contexte qu’un nouveau mouvement est apparu, un mouvement influencé par les connaissances ancestrales des lois universelles, et par un profond besoin de se reconnecter à l’Esprit, à la magie du monde. La spiritualité contemporaine est donc un mouvement récent qui vient recycler les vieilles sagesses. Il s'est décliné en de nombreux groupes et sous-groupes, avec parfois des idées radicalement opposées.

Reste à savoir comment ce recyclage se fait. Si bon nombre de personnes dites spirituelles élargissent leur esprit critique, il n’empêche que de nombreux biais, liés à une interprétation approximative des principes de l’Univers, existent et freinent les personnes actuellement sur un chemin d’éveil. C’est de ces biais dont il est question dans cet article, afin d’avoir un regard le plus juste possible sur la spiritualité contemporaine et de vous aider à passer au delà des limites d’interprétation que l’on connait pour le moment.

 

 

   1 - Le tabou des émotions négatives

     L'instant présent est comme  vous avez pu le découvrir, une base essentielle de l’apaisement. Vous avez aussi certainement appris que ce fameux moment présent apportait une paix intense, une sérénité à toute épreuve et un élargissement de votre position observatrice, vous apportant ainsi une meilleure compréhension de vous-même. Eckhart Tolle dans son superbe ouvrage «Le pouvoir du moment présent» nous invite à se recentrer sur celui-ci, espace intemporel et exempt de problèmes car ici est maintenant tout est juste et dénué des angoisses liées aux blessures du passé et de l'avenir. Ces enseignements sont d'une grande qualité et seront fort utiles à tous ceux qui se projettent indéniablement et de manière très angoissée dans un avenir les rendant malades. Je ne remets absolument pas en cause ici l'importance de ce recentrage essentiel.

 Ce qui est mal compris concernant le moment présent et la vie en général, c’est que la démarche spirituelle ne vous enlèvera jamais ce qui fait de vous des êtres vivants et intelligents, à savoir les émotions. 

     Nous avons tous ce GPS interne qui nous guide vers les voies les plus justes pour nous. Ce sont en effet les émotions qui vont nous aider à faire des choix. Celui qui ressent de la colère ou de la tristesse vit quelque chose qui lui est propre et qui indique qu’une blessure n’est pas traitée ou qu’une situation ne lui convient pas. Or ces émotions de colère, de désespoir parfois même, de tristesse, de jalousie etc sont souvent réprimées.

     Je généralise un peu  mais ayant arpenté beaucoup de groupes dédiés au développement personnel, je peux vous dire qu’il existe bel et bien un tabou énorme sur les émotions dites négatives. Le « vrai spirituel » devrait donc ne ressentir aucune colère et  baigner dans l’amour inconditionnel. Beaucoup d’auteurs sur Internet et dans les livres parlent de cette absence de colère comme gage de paix et de bonheur. C’est une idée à ne pas perdre de vue et la sérénité vaudra toujours mieux que la colère et la guerre. Cependant il faut rester vigilant ici car de nombreux témoignages démontrent que les émotions sont des énergies qui, si elles restent dans le corps, le détruisent petit à petit, comme de l’acide. « Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime ». Une émotion non exprimée crée une tension interne difficilement gérable qui va créer de la souffrance, jusqu'à ce qu'elle soit traitée. Les émotions ainsi logées dans le corps vont créer des maladies qui tenteront de parler à la personne pour lui faire comprendre qu'il y a une tension non écoutée. Pire encore, toutes nos émotions refoulées peuvent être transmises à nos enfants afin qu'ils règlent pour vous ce que vous avez refusé de régler de votre propre chef. Une émotion non traitée est donc toxique, parfois même sur plusieurs générations.

     Avec l’expérience je peux vous dire qu’il faut parfois du temps avant que la sérénité soit majoritaire dans la vie d’une personne qui est dans une démarche de croissance spirituelle parce qu’il faut le temps de la purification émotionnelle et mentale. Les blessures doivent être soignées, les émotions doivent être exprimées et nettoyées, les programmations négatives et limitantes doivent être déliées. Au début, ce travail est souvent extrêmement pénible, proportionnellement aux émotions enfouies. Il est normal donc de ressentir des émotions difficiles, surtout au début. Ensuite, effectivement plus vous guérissez de vos blessures, et moins la peur est présente. C’est un effet boule de neige vibratoire et émotionnel. Vous êtes plus serein, moins colérique, plus joyeux et attirez donc à vous de meilleures situations, génératrices de joie.

     Ceci-dit, je voudrais attirer votre attention sur le fait que vous êtes humain ! Vous avez un égo, des émotions, une personnalité, des limites, des instincts primaires, et vous aurez toujours des moments de doutes ou encore de colère. D’ailleurs c’est nécessaire, puisque je vous le rappelle,  vos émotions sont un GPS émotionnel qui vous guide. Celui qui ne ressent pas la brûlure en mettant sa main sous le feu finira la main calcinée puisqu’il ne ressent pas la douleur. Cette image est assez représentative de l’utilité des émotions dans notre vie. Je vous suggère donc d'écouter vos émotions, sans les juger. Leur accorder de l'importance, c'est être à l'écoute de vous même, vous respecter, vous accepter et vous soigner.

 

 

   2 - Objectif zéro égo ?

     Les questions qu’on se pose souvent face à l’égo tournent autour de sa maîtrise forcée ou autour de son élimination. Dans un sens large l’égo est considéré comme quelque chose d’extrêmement négatif. Par exemple on dit « avoir l’égo surdimensionné » pour parler d’une personne plutôt égoïste et fière. L’égo est donc devenu un concept à la mode, un ennemi à détruire dans lequel les personnes inscrites dans une démarche spirituelle ont tendance à se perdre.

En psychologie, on parle d’égo pour parler du soi. Ce soi, ce petit soi qui représente en réalité notre personnalité. Quand nous disons « Je », nous parlons en effet de cet égo. Nous sommes responsables de cet égo : c’est la responsabilité que l’on a envers soi, son personnage. Nous sommes tous un personnage dans l’incarnation, ce qui donne des nuances et des couleurs dans la raison d’Etre. En fait, l’égo est ce qui nous représente en tant qu’humains dans notre parcours de vie, de choix, d’expériences et de vécus agréables et traumatiques. Ainsi donc l’égo est notre référence symbolique à laquelle on se rattache en tant qu’humain. C’est notre conscience humaine régie par nos émotions et notre cerveau. Il n’existe pas d’égo proportionné d’égal à égal entre les humains. Aucun égo ne se ressemble. Ce « je » qui nous représente est le garant de notre individualité humaine.

     Au delà de cet égo, nous avons une conscience supérieure, régie par notre Grand Etre, celui qui dirige les opérations de « la haut ». Ce Moi est plus agréable, plus sage que l’égo humain car il a tout simplement davantage d’expérience et qu’il est allégé du corps humain et de sa conscience limitée par un cerveau inexploité. La perception que nous avons de notre Moi supérieur est représentative de notre niveau de conscience global. Plus nous nous approchons de la connaissance de ce Moi et plus nous nous éloignons de l’égo, ce moi humain.

 Le piège ici est de vouloir n’être plus que ce Moi supérieur.

Il n’est en réalité pas possible de vivre sans personnalité car elle fait partie intégrante de notre expérience terrestre. Si nous n’avions pas notre personnalité, nous ne serions pas capables de vivre le choix. Le choix est pourtant important pour la suite. Le Moi supérieur a besoin du moi humain pour apprendre des choses, pour savoir ce qu’il souhaite expérimenter par la suite. Vouloir le détrôner, le maîtriser, le décrédibiliser est une forme de suicide ou encore de dénigrement de ce qu’on est, et même une sorte de non acceptation de notre incarnation. Nous avons besoin de la symbiose Moi/moi pour avancer.

On peut toutefois dire que la personnalité ne doit pas prendre le dessus sur le Moi supérieur, sans quoi cela signifie que l’on ne vit l’incarnation que d’un point de vue humain, et que nous laissons l’Etre spirituel de coté. Eckart Tollé parle du « corps de souffrance », ce moi blessé qui essaie de survivre par tous les moyens.  La spiritualité contemporaine parle de mental ou d’égo.  L’égo devient dangereux quand on ne s’identifie plus qu’à lui, et que l’on oublie notre conscience supérieure. Là aussi on peut dire que ça revient à une sorte de suicide, puisqu’une partie de nous beaucoup plus expérimenté, sage et guérie que notre moi humain est laissée pour compte, alors qu’elle est sensée nous guider dans nos choix. Sachons faire la part des choses et laisser de la place aux deux. C’est le sentiment d’équilibre qui devrait vous guider dans la juste dose à avoir. Viser ce juste dosage et l’assainissement de l’égo par la guérison des blessures est bien plus utile et efficace que de chercher à occulter ce que l’on est dans notre intégralité. Un égo sain ne pose pas de problème et laisse la part large à l’expression du Soi supérieur.

Pour résumer : nous n’avons pas besoin de décimer l’égo mais de le rendre sain et partenaire de notre conscience supérieure.

 

     3 - La théorie du complot

     Le monde s’incruste dans nos ressentis personnels. Nous sommes souvent connectés à la Télévision et aux journaux télévisés qui nous montrent un monde qui s’écroule. La vision que l’on a tous plus ou moins du monde actuel est très négative. Tout semble s'écrouler, aller de travers, être injuste.  Il y a des écrits qui pullulent sur internet, et des auteurs qui se sont intéressés de près ou de moins près à ce qui fait que notre civilisation va si mal. De plus en plus de personnes sont éclairées vis-à-vis du fait que nous soyons des objets de manipulation entre les mains de personnes peu scrupuleuses ayant compris la naïveté humaine (personnalités humaines et non humaines).

Il est vrai qu’à l’heure actuelle, les mensonges font enfin surface. Les rapports humains sont effectivement régis par la loi du plus fort et du plus riche, et beaucoup d’humains en font les frais. Pour expliquer ces phénomènes négatifs,  la théorie du complot est un concept qui plait à beaucoup de personnes dans une démarche spirituelle. La plupart d’entre nous avons lu des livres sur les illuminati, les reptiliens, les sociétés secrètes,  ou  entendu parler des vampires énergétiques, des forces de l’ombre etc.

Sans détailler dans cet article le vrai du faux dans ces phénomènes, il me semble ici important de rappeler que quelque soit la véracité de ces théories, la loi de cause à effet est complètement oubliée dans ce genre de propos. La loi de cause à effet (que certains appellent assez grossièrement le karma) dit que tout acte a une conséquence. Ce qui nous arrive est donc la conséquence d'actes, pensées, comportements passés (vies antérieures et vie actuelle). Il ne faut pas perdre de vue que nous sommes des créateurs et que tous les royaumes sont interconnectés. Toutes les dimensions se chevauchent, et que nous le voulions ou pas, c’est nous qui avons crée le monde dans lequel nous vivons. Trop rentrer dans ces théories là, c’est prendre le risque de nier notre pouvoir créateur d’une part, et de s’enfermer dans la peur d’autre part. C’est une vision très dualiste des événements actuels, qui ne prend pas en compte le pouvoir de l’espèce humaine sur sa propre destinée, et qui prend encore moins en compte le choix de l’incarnation terrestre. Le mieux ici est de prendre du recul et de voir tous ces êtres manipulateurs comme participant pleinement à notre évolution et ayant aussi leur propre évolution.

Nous Co-évoluons, et ce que nous considérons comme négatif à une petite échelle est en vérité une pulsation cardiaque qui passe de la construction à la destruction et de la destruction à la reconstruction.

 

   4 - Messages reçus par canalisation : Attention

L'une des grandes difficultés quand on commence à s'éveiller, c'est qu'on est à cheval  entre des réalités qui sont assez différentes: le monde tel qu'on le vivait avant, très terre à terre, très mental, dénué de toutes possibilités et le monde "spirituel, celui de  l'énergie informationnelle. Ce sont des aperçus plus ou moins courts nous font comprendre que notre 3D n'est qu'une dimension parmi d'autres. A ce moment là, on commence à accéder à l'information, mais coupée, saccadée, floue. Beaucoup d'incompréhension font qu'on se sent mal à l'aise avec cette nouvelle réalité. C'est souvent dans ce contexte là qu'on ressent le besoin d'aller chercher des informations auprès de personnes que l'on considère comme expertes. Avec l'apogée de la communication internet, des informations se sont diffusées très vite, et nous avons accès à des textes écrits par des médiums obtenus par télépathie (entre autres). Ces canalisations nous semblent souvent pleines d'amour et de véracité mais avant de lire ces canalisations, il faut s'assurer de bien comprendre de quoi il est question, et d'avoir en tête qu'il existe de nombreux biais qui font que ces messages sont pour la grande majorité porteurs d'informations fausses ou déformées.

Ces biais sont les suivants: 

• Le médium n'est pas forcément aligné/centré : Lorsque l'on canalise un esprit, il faut toujours s'assurer d'être parfaitement axé sur soi même, nettoyé des énergies négatives et faire le vide. Personne n'est infaillible, et parfois le médium est décentré ou ses canaux encrassés. Le message peut alors être déformé.

• le message vient peut-être d'Esprits qui se jouent du médium :  Les esprits sont de toutes natures. certains sont plus malins que d'autres et aussi plus perfides. Ils savent comment se jouer de nous en nous donnant des informations contre-productive ou en nous disant ce qu'on veut entendre. Quand vous lisez un message, gardez cette donnée en tête et lisez le message en essayent de déterminer le taux vibratoire du message, en, essayant de capter l'état d'Esprit de la conscience s'exprimant à travers le message.

• Le message est peut-être une expression de l'égo de la personne : Certaines canalisations ne sont en réalité que l'expression des idées, fantasmes, conflits de la personne qui canalise. Encore une fois, pensez à prendre du recul par rapport à ce que vous lisez et entendez. 

• Le message est toujours plus ou moins interprété par le Médium : La télépathie est un formidable outil qui se sert de notre mental. Elle agit comme un traducteur , un médiateur entre l'émetteur et le récepteur . Le cerveau est sollicité, ainsi que l'état d'esprit du médium, sa personnalité, ses croyances, son vocabulaire. Sachez qu'un esprit doit plus ou mois s'adapter à celui qui réceptionne le message. Ce ne sont pas des mots qui viennent dans un réservoir, mais des énergies que l'esprit adapte pour qu'elles soient assimilées par le Médium. par la suite, le message sous forme énergétique sera transformé en mots et idées par le cerveau. Les mots varient donc en fonction du médium mais aussi en fonction de son Etat physique, mental, spirituel.

Ces biais sont naturels mais peuvent être réduits. A charge du médium la conscience du travail bien fait, et à charge de celui qui le lit de rester "réveillé" quant à la teneur du message. Rien n'est à jeter, rien n'est à rejeter en bloc. Libre à vous de prendre ce qui vous semble juste, en gardant en tête que  ces biais existent.

Les signes qui doivent vous alerter qu'un message est trop biaisé pour être pris au sérieux:

• L'esprit se présente comme un grand maître ascensionné de type Jésus, Archanges etc. Les esprits joueurs savent que vous vous fiez un peu trop au renom, la popularité d'un personnage. Ce n'est pas impossible mais vous devez rester prudent. 
• Les Esprits canalisés nous disent d'être patients, qu'ils vont bientôt nous venir en aide etc. (message contraire au principe de libre arbitre, de volonté créatrice, de pouvoir créateur en chacun de nous). L'attente passive crée du vide ! La question de la patience doit être explicitée par l'Esprit canalisé. Les promesses sont souvent le signe d'une canalisation avec un Esprit qui ment.

• Vous ressentez une émotion ou une sensation négative en le lisant. Fiez vous toujours à votre ressenti profond, celui qui vient de votre intuition. Si le message ne vous inspire aucune confiance au delà de votre scepticisme crée par le mental, alors il y a certainement de bonnes raisons. 

De plus il faut garder en tête que ces messages sont souvent destinés à être lus par un public large. Ils sont donc souvent très généralistes. Ils peuvent être des coups de pousse mais ne remplaceront jamais les messages que vous pourriez canaliser pour vous-même. 

 

 

5 - La croyance que l'on peut rater notre mission de vie

La nature d’une existence est propre à chacun. Chaque Etre, quand il s’incarne décide de ce qu’il pourrait essayer de comprendre, de transcender. Un être humain qui n’a pas réussi socialement et qui aurait tout oublié de sa vie passée n’aurait pas forcément « raté sa vie » dans le sens que son Etre l’a délibérément conduit sur des chemins sinueux afin d’expérimenter un pan de matière  particulier. Un autre Etre dont le corps se souvient de l’existence éthérique et qui aurait fait des chemins de compassion extrême est lui aussi sur des expérimentations choisies. Tout est choix à d’autres niveaux de conscience. Ce qui peut perturber le bien-être est alors perçu par l’humain comme raté. En gros, vous ne demandez pas si vous avez ou allez rater votre mission de vie mais si vous allez obtenir le bien-être. Ce sont des concepts qui se rejoignent mais qui sont différents. L’amour que vous donnez dépend de la possibilité de votre Etre de matière (le corps)  a à laisser l’Etre d’Ether briller dans vos cellules. cependant, vos missions, elles sont toujours accomplies quoi qu’il arrive. Les bilans sont faits après et les leçons comprises à d’autres niveaux. Qu’en est-il de votre bien être d’ailleurs si vous vous posez cette question en continu? Dites-vous simplement que toute est à sa place. La recherche de joie est l’apanage du corps (et il a raison), l’accomplissement de vos buts est celui de votre Etre éthérique, qui, quoi qu’il arrive sait ce qu’il fait et ce qu’il expérimente.

 Cette liste n'est évidemment pas exaustive. C'est un bref aperçu des dérives qu'on peut rencontrer dans le domaine de la spiritualité. De nombreuses croyances peuvent venir saboter notre travail intérieur. Chacun est responsable de sa propre perception des concepts fondamentaux de l'Esprit et a la possibilité de prendre du recul sur des principes ou des croyances sans pour autant tout rejeter. Encore une fois le discernement est votre outil le plus efficace. D'autres articles peuvent évoquer ces dérives sur le site, et peuvent aussi vous éclairer sur tous les enjeux de la spiritualité moderne.